Fiction de Mozart
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Ma fiction à moi ... -Partie 7.

5 participants

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Nelly Salieri ♪

Nelly Salieri ♪
♫ L'Ecrivaine ♫

D'accord, tant mieux ! Smile

https://mozartorfiction.forumgratuit.org

Nelly Salieri ♪

Nelly Salieri ♪
♫ L'Ecrivaine ♫

Voilà un petit gros bout :


Il sortit de nouveau, et Isobelle balaya l’assemblée d’un sourire qui semblait déjà un peu plus éveillé. Demetrio acheva son petit-déjeuner, chuchota quelque chose à Elise, et Merwan, qui était à côté de la jeune Wagner, put saisir : « surprise pour toi ce soir ».Il se leva et quitta la pièce sur les traces de son frère. Elise, ravie et parfaitement réveillée, se leva d’un bond, rangea sa tasse et ce qu’elle avait sorti, puis monta pour se préparer.
- C’est un défilé de couple, ici, ou quoi ? grommela Merwan qui se sentait de trop.
Eleonore éclata de rire, et fut imitée de la plupart de l’assemblée. Les autres les rejoignirent dans la demi-heure qui suivit, plus ou moins habillés et réveillés. Les hommes, après avoir embrassé leurs compagnes, partaient dans les petites calèches qui arpentaient toutes les routes pour aller aider dans la reconstruction du théâtre.
Les femmes, après avoir fini de ranger la cuisine, décidèrent de s’occuper utilement, en s’attaquant au ménage. Mariana et Hélène allèrent dans le jardin pour essayer de tailler la haie devenue un peu trop hirsute à leur goût, laissant ainsi Elise, Isobelle, Garance, Marie, Eleonore, Josépha, Sophie, Aloysia et Constance pour l’intérieur.
Elles se départagèrent les tâches, selon l’ordre de Constance, qui avait pris les rennes des opérations.
- Alors euh… dit-elle. Elise et Josépha, vous montez vous occuper des chambres du deuxième, et Eleonore s’occupera de la salle de bain du haut.
- Ah, non ! protesta sa jeune sœur.
Malheureusement, elle n’eut pas d’autre choix, et le trio monta piteusement l’escalier de bois.
- Euh… poursuivit la Weber. Josépha, Sophie et la damoiselle blonde, là…
- Marie, se présenta celle-ci.
- Oui, voilà. Vous faites celles du premier.
Sophie et Josépha se lancèrent un défi : celle qui arrivait la première à l’étage, et elles commencèrent leur course, écrasant les marches de pin avec la lourdeur d’un mammouth. Morte de rire, la jeune française les suivit.
- Aloysia s’occupera des toilettes du rez-de-chaussée, Isobelle et Garance du nettoyage de la cuisine et moi de l’accueil et des couloirs. Au boulot !
La cantatrice fit une grimace, et se dirigea vers sa sombre besogne, tandis qu’Isobelle et Garance gagnaient la cuisine d’un pas résolu.
A la fin de la matinée, tout resplendissait de partout, excepté les chambres du premier qui s’était transformé en un champ de bataille pour oreillers. C’est au milieu de plumes et de draps en boules que les femmes ayant achevé leur partie trouvèrent Marie, Sophie et Josépha, toutes écroulées de rire sur les matelas nus. L’église sonna une heure de l’après-midi, et les six femmes se décidèrent à les aider, pour ensuite manger.
Le déjeuner fut préparé en vitesse par Marie, qui semblait avoir travaillé dans cette cuisine depuis sa naissance. Au bout d’une demi-heure de préparation, elle leur présenta trois grosses tartes aux endives, que toutes dévorèrent avec appétit. Après avoir tout rangé et nettoyé, elles décidèrent de profiter du bon temps pour s’occuper du jardin, et Hélène et Mariana, restées à l’extérieur toute la matinée, s’accordèrent une petite sieste de repos, dans des hamacs tendus entre deux arbres. A de nombreuses reprises, Sophie et Josépha eurent envie de les renverser, mais Garance veillait.
Il n’y eut pas trop d’écarts de la part des deux sœurs Catastrophe, et le jardin se retrouva remis à neuf pour le retour des hommes, qui se firent bien réprimander quand ils arrivèrent avec leurs chaussures toute salle.
Dans la joie et la bonne humeur, la française blonde servit de divers plats plus excellents les uns que les autres, ainsi qu’un gâteau qui séduisit tout le monde. Elle eut les félicitations de tous, et une invitation pour recommencer quand elle le voulait de la part de Cécilia. La française s’en montra ravie, et accepta l’offre avec joie. Elle avait obtenu une des choses qu’elle désirait.
Le repas fut ensuite rangé, et Hélène constata avec dépit qu’il y avait beaucoup moins de restes que quand c’était elle qui préparait.
Après s’être repus, tout le monde alla se coucher dans leur chambre respective, pour une bonne nuit de sommeil. Christopher, au lieu de reprendre la route pour son palais, partagea la chambre d’Eleonore, et Merwan fit de même avec celle d’Hélène. Il régnait sur l’auberge une atmosphère agréable et reposante.


J'ai au moins 5 pages d'avance, alors, ne vous en faites pas, vous allez en avoir, de la lecture ! Very Happy

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Elise

Elise

Oooouuuuuaaaaiii!
C'est Super!
J'adore ce "Petit Gros Bout" de suite!

Nelly Salieri ♪

Nelly Salieri ♪
♫ L'Ecrivaine ♫

S'il te plaît, en voilà un autre !! Very Happy




- Alessandro, arrête de courir partout ! supplia Elise en courant après le petit garçon qui traversait les couloirs avec, pour seul vêtement, une couche-culotte.
Demetrio, qui attendait son fils au bout du couloir, le cueillit alors qu’il voulait aller vers les escaliers, et le ramena à la mère, qui le prit dans ses bras.
- Tu arrêtes de courir partout quand je te dis de ne plus bouger ! gronda-t-elle.
L’enfant le regarda avec des yeux larmoyants, et Elise se sentit fondre. Ce petit ressemblait tellement à Demetrio et Antonio qu’elle lui céderait n’importe quoi. Mais décidée à ne pas lui éviter la punition, cette fois, elle finit de l’habiller et le mit au coin.
Alessandro avait presque cinq ans, et n’aimait pas le vieux coin poussiéreux de sa chambre dans lequel il était souvent puni. Résolu à ne pas y rester, il échappa à sa mère et sauta sur son lit pour se rouler en boule sous les couvertures. Elise soupira, et entreprit de l’extirper des draps, mais il s’attacha résolument au matelas de manière à ce que sa mère ne puisse pas l’attraper.
- Qu’est-ce que tu fais ? s’étonna une petite fille qui venait d’entrer.
- J’essaie… de sortir… Alessandro de là-dessous ! répondit-elle en haletant sous l’effort que nécessitait son bambin.
- Attends, dit la petite fille. J’ai un moyen !
Elle s’approcha du lit, toucha la bosse formée par les draps, repéra la tête du petit garçon, et se mit à le chatouiller férocement. Au bout de cinq secondes, Alessandro cria grâce et se réfugia dans les bras de sa mère qui, malgré son amusement, le remit au coin.
- Merci, Christelle, dit-elle à la petite fille rousse flamboyante. C’était gentil de ta part.
- De rien, madame Elise. Je suis contente d’avoir pu t’aider !
La fillette de quatre ans sortit, sans doute à la recherche d’autres enfants à traumatiser avec son arme absolue. Alessandro bougonna tout le reste de la matinée, et n’adressa plus la parole à Christelle, même quand celle-ci, tentant de s’excuser, lui offrit son goûter du matin, lui apportant à son endroit de punition.
- T’es plus ma copine, maugréa-t-il.
La fillette sembla très peinée, car elle alla pleurer dans les bras de sa mère, qui, inquiète, lui demanda ce qui n’allait pas.
- C’est… Ale… Alessandro qui… qui est… plus mon copain ! hoqueta-t-elle.
- C’est rien, murmura Hélène pour l’apaiser. Ce n’est rien. Ne t’en fais pas, ça va passer.
Cela n’eut pour effet que de redoubler ses pleurs, et son père, Merwan, dut intervenir en lui faisant un numéro de jonglage avec des bananes. Christelle se prêta au jeu avec passion et rire, et tendit ses petites mains pour essayer de faire pareil. Merwan lui donna son hochet en plastique avec un clin d’œil, mais la fillette le refusa.
- Je suis plus un bébé ! s’exclama-t-elle. J’ai plus besoin du hochet !
Elle se frotta les yeux et bâilla un grand coup.
- Ah, ça, je te l’avais dit ! Hier soir, tu n’as pas voulu dormir, alors, aujourd’hui, tu es fatiguée ! s’exaspéra Hélène.
- C’est pas vrai ! Je suis pas fatiguée ! cria-t-elle.
Elle sauta des genoux de sa mère, et alla rejoindre ses amis qui jouaient dans le jardin, abandonnant Alessandro à son triste sort.
Antonio entra, un énorme bouquet à la main, et fit signe à la gouvernante et à son mari de se taire. A pas de loup, il rejoignit la porte de sa chambre, prit une grande inspiration, et l’ouvrit en présentant le bouquet.
- Tadaaa ! claironna-t-il à l’intention de sa femme qui rafistolait un pantalon de bébé déchiré au genou.
Isobelle fut surprise, puis émerveillée. Elle posa son ouvrage, et prit le bouquet.
- Que me vaut cet honneur ? s’inquiéta-t-elle.
- Mon amour pour la plus belle des femmes, répondit-il en s’emparant de ses lèvres et en fermant la porte.

Naomie arriva dans la soirée avec un charmant jeune américain du nom de Jack Dawson, qui fut accueilli comme un roi à la table montée par Marie Forestier, devenue cuisinière en chef de la ville. Evidemment, un étranger comme lui ne se rendit pas compte de la chance qu’il eut de pouvoir goûter aux plats de cette française sans avoir à débourser un sou. Tout Mannheim, excepté ceux qui vivaient à l’auberge, se serait battu pour obtenir une bouchée de ces plats que l’on disait divins.
Après l’excellent repas, les mamans durent employer tous leurs efforts pour réussir à maintenir leurs bébés respectifs dans leur berceau, et regagnèrent ensuite l’accueil, transformé en un grand salon convivial au fil des années.
Cécilia était décédée de sa grande fatigue, et Constance avait été contrainte de reprendre les commandes, étant donné qu’Aloysia avait catégoriquement refusé du fait qu’elle vivait, à présent, à Venise. Sophie et Josépha avaient, d’un commun accord, décidé que l’organisation lui revenait, car elles s’estimaient incapables de l’assurer. L’avant-dernière des Weber avait bien essayé de les en dissuader, mais elles avaient été inébranlables à tout ses propos. Constance n’avait même pas imaginé les confier à Eleonore, puisqu’elle savait que son mari, le prince Christopher d’Allemagne, ne voudrait jamais que sa femme se retrouve directrice d’un bâtiment, certes chic et demandé, mais qui restait quand même une auberge. Depuis que la mère Weber n’était plus là, l’auberge avait été entièrement redécorée par tous les hommes, qui, avouons-le, avaient été menacés de devoir partir s’ils ne le faisaient pas. Mine de rien, la menace avait fait son effet, puisqu’en un an, tous les travaux avaient été achevés dans l’auberge, et Constance avait pu admirer un travail sérieux et irréprochable.
Parmi les filles Weber, Josépha avait épousé Lorenzo Da Ponte, à qui elle faisait les yeux doux depuis quelques temps, et Sophie commençait sérieusement à se pencher sur la question. Depuis que sa sœur et complice l’abandonnait régulièrement pour rejoindre son homme, elle regardait passer les garçons sans grand intérêt.

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Elise

Elise

On a fait un bond dans le futur!
Il est trop mignon mon petit AlesSandro!

Nelly Salieri ♪

Nelly Salieri ♪
♫ L'Ecrivaine ♫

Oui, petit bond dans le futur, puisque le présent devenait un peu barbant... Wink
C'est vrai ? Ton fils te plaît ? Wink

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Elise

Elise

Il est trop mignoon!

Nelly Salieri ♪

Nelly Salieri ♪
♫ L'Ecrivaine ♫

Il a brisé le coeur de ma fille, et il est mignon ?! xD !
Nan, j'plaisante ! xD

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Elise

Elise

Oui mais elle l'a chatouillé...Naaah!
Razz

Nelly Salieri ♪

Nelly Salieri ♪
♫ L'Ecrivaine ♫

Le temps tournait de la pluie au soleil à l’approche du mois de juin, et les enfants, au fil des années, se multipliaient. Quelques-uns allaient déjà à l’école du village, partant le matin main dans la main, sous les regards attendris de leur mère, qui se doutait que, le soir venu, ils seraient de nouveaux des petits monstres.
Les plus âgés des enfants étaient Alessandro, le fils d’Elise et Demetrio, Mélodie et Alice, les jumelles d’Eleonore et Christopher, et Christelle, la fille d’Hélène et Merwan. Tous cinq s’entendaient très bien, malgré les petits conflits qui apparaissaient de temps à autres, surtout entre Alice et Mélodie, qui, en bonnes Weber, étaient les pires chipies de la planète. A leur grand découragement, les gens avaient constaté qu’elles ressemblaient beaucoup à Sophie et Josépha, et ils craignaient pour la suite, plaignant les parents.
Mais ceux-ci vivaient bien avec leurs deux filles. Eleonore en aurait bien souhaité un autre, mais son mari avait décidé d’attendre un peu. Pour lui, il devait y avoir un écart de six ans entre les enfants. La dauphine d’Allemagne avait hâte l’année suivante, que les deux petites fêtent leurs cinq ans. Elle rêvait d’un petit garçon, et il lui semblait que son mari partageait quelque peu cette ambition.
En cette après-midi de juillet, alors que tout le monde vaquait à ses occupations, en l’occurrence, la sieste, Eleonore et Christopher étaient allongés côte à côte dans l’herbe, protégés du timide soleil par un grand platane, doigts enlacés. Le feuillage laissait passer un peu de lumière, éclairant les yeux saphir du futur roi d’Allemagne, le rendant encore plus beau.
- Tu te souviens de notre rencontre ? demanda-t-il, un sourire aux lèvres.
- Tu veux parler de la première fois, devant l’étang, où tu faisais les ricochets ?
Christopher fouilla sa mémoire, mais ne se souvint pas de cet épisode de a vie.
- De quoi tu parles ?
- La première fois que je t’ai vu, tu étais au bord d’un étang et tu faisais des…
- Ah, oui ! se rappela-t-il. Ah, mais c’était toi, la femme qui m’a suivi ?!
- Je ne t’ai pas suivi. Et oui, c’était moi.
Il fit la moue, signe qu’il faisait tout le temps quand il voulait passer à un autre sujet.
- Tu voulais parler de la fête où le théâtre Salieri a brûlé, alors ? demanda-t-elle.
Le prince sourit et ferma les yeux. Il se souvenait, à présent, d’avoir rencontré sa femme à deux reprises avant de tomber amoureux d’elle. Et ces deux fois, il avait tout, sauf assuré.
- Non, je parlais de cette fois, à l’auberge…
- Ah, oui, le jour où tu es arrivé sous le conseil d’Irma !
Il se renfrogna, honteux de s’être fait fasciner par cette vieille folle du village. Sa femme remarqua son air renfrogné, et lui caressa les cheveux en lui rappelant que, sans elle, elle serait sans doute encore en train de lui courir après, et lui à croire qu’elle était une folle sadique et masochiste. Sa remarque arracha un sourire à Christopher, qui l’embrassa pour la faire taire.
- Bon, et qu’est-ce que tu voulais me rappeler, de ce jour où nous nous sommes rencontrés pour la troisième fois, même si tu croyais que c’était la première ?
Il lui pinça les côtes pour se venger de cette remarque mal placée, et, sous l’effet de ses réflexes, elle se plia en deux.
- Ah ! Non ! Fais pas ça, j’en ai horreur ! s’exclama-t-elle en riant.
- Je sais, sourit-il. Mais tu sais que je n’aime pas qu’on me rappelle mes torts passés.
- Oui, je sais, je ne le referais plus.
Elle l’embrassa pour sceller le pacte, et le prince lui raconta ce qu’il avait ressenti la première fois qu’il l’avait rencontrée. D’abord, il n’avait vu en elle que la femme de chambre qu’elle incarnait, les cheveux à moitié attachés, le tablier un peu froissé et le regard affairé. Mais alors qu’il avait du attendre un petit moment à l’accueil, il avait pu la regarder plus attentivement… Cette coiffure, un peu vite fait, ces yeux un peu affolés, d’un marron pétillant, cette posture droite et fière, ces mains agiles et ces mouvements habiles de liberté l’avaient fasciné et séduit.
- C’n’était pas un coup de foudre, dit-il. Mais juste une révélation.
Elle lui expliqua que, pour elle, elle avait tout de suite était attirée par lui les deux premières fois. Il voulut lui refaire le coup de la côte, mais, ayant anticipé son geste, elle se leva, et il l’imita pour la pourchasser. Autour de la fontaine, ils coururent jusqu’à ne plus en avoir de souffle. Enfin, jusqu’à ce qu’Eleonore s’écroule.
- Qu’est-ce que tu as ? s’affola le prince.
Elle ne répondit pas, inconsciente. Affolé, Christopher s’en alla quérir un médecin.


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Elise

Elise

Qu'arrive t'il à Eleonore?
Attendrais t'elle un autre bébé?
La suite au prochaine épisode!

Eleonore Weber

Eleonore Weber
~♪ La Mikelienne ♪~

C'est pas du jeu Elise!

NaomieFellucci

NaomieFellucci

OK sympa je suis toute seule.. --'
Je veux dire que Naomie est toute seule, c'est qui ce... Jack?!

Enfin bon je ne vais pas me plaindre au moins je suis dans la fic', mais bon...
Je suis un peu (beaucoup!) dégoutée quoi... Crying or Very sad

Je suis la seule qui n'ai pas de mari! Sad Pourquoi? Bon, j'essaye de téléphoner à LN!! tongue

Sinon j'ai rien à dire, tu as vraiment du TALENT!

Elise

Elise

Eleonore Weber a écrit:C'est pas du jeu Elise!

C'est juste une hypothèse!
Et toi ta fic', ça marche?

Eleonore Weber

Eleonore Weber
~♪ La Mikelienne ♪~

Disons que ma merveilleuse inspiration à pris ses jambes à son coup et c'est barrée --' xD

Eleonore Weber

Eleonore Weber
~♪ La Mikelienne ♪~

Attention les filles, (surtout I'am) prennait toute un bac pour vomir c'est pas beau du tout xD

http://hpics.li/8baa409

Alors? Wink

Je vous présente Demtrio Salieri xD

NaomieFellucci

NaomieFellucci

Eleonore Weber a écrit:Attention les filles, (surtout I'am) prennait toute un bac pour vomir c'est pas beau du tout xD

http://hpics.li/8baa409

Alors? Wink

Je vous présente Demtrio Salieri xD

Arrête j'aime troooop!! sunny

Nelly Salieri ♪

Nelly Salieri ♪
♫ L'Ecrivaine ♫

Il s’était avéré que, après voir causé bien du souci pour le docteur qui l’avait auscultée, Eleonore attendait un enfant. Elle avait passé toute sa grossesse dans sa chambre, car ce nouvel enfant l’avait fragilisée.
Huit ans s’étaient à présent écoulés depuis que le théâtre avait brûlé, et les aînés de toute l’armée d’enfants allaient fêter leurs sept ans. Elise comptait, maintenant, trois enfants du nom d’Alessandro, Maria et la petite Anabella, âgée de cinq ans. Hélène quatre, prénommés Christelle, Manon, Tristan et Antoine. Le fils d’Eleonore avait finalement vu le jour en octobre, et avait hérité du prénom Ilian. Isobelle et Antonio avaient eu, deux ans après Demetrio et Elise, une fille, du nom de Blanche, et des jumeaux répondants aux noms d’Athan et Elio un an plus tard.
Toutes les familles étaient ravies, et s’épanouissaient à l’auberge Weber, bien que plusieurs voyages avaient été organisés avec l’argent ramassé tout le long de l’année. Ainsi, ces familles avaient pu aller en Italie, puis en Angleterre, où Naomie avait retrouvé son beau Jack Dawson, parti là-bas pour y trouver du travail. Se retrouvant pour la deuxième fois, Jack et Naomie avaient décidé de ne plus se quitter, et c’est comme ça que l’américain rentra avec eux. Le théâtre étant trop petit pour un couple, la jeune Salieri avait opté pour prendre une chambre à l’auberge, qu’on avait du agrandir trois fois depuis la mort de Cécilia.
Néanmoins tout ne pouvait pas toujours aller bien. Cette année, justement, Mariana avait été invitée par le père Loconte, qui voulait la revoir. De ce fait, l’Italienne avait du casser sa tirelire pour pouvoir y partir, laissant en Allemagne Mikele, qui n’avait pu l’accompagner, faute d’argent.
Marie, la cuisinière, avait bondi sur l’occasion, qui ne lui serait sans doute plus jamais offerte. Elle multiplia les bons plats et les petites attentions pour l’Italien, qui se laissa séduire volontiers. Dans l’auberge, tout le monde les voyait d’un mauvais œil, mais certaines, les amies de Marie, avait compris son besoin d’amour et son attirance pour ce beau jeune homme. Ils lui avaient quand même fortement conseillé de ne pas s’établir trop. Et elle avait juré que non. L’incident était inévitable.
Et il ne tarda pas. Dès le retour de Mariana, l’ambiance fut plus tendue que la corde d’un arc, mais tout le monde se refusait à dire quoi que ce soit. C’est finalement Hélène qui raconta tout, incapable de garder le lourd secret dans lequel tout le monde s’était confiné, surtout que Mariana était une femme à qui elle confiait tout. Elle raconta que, depuis son départ, Marie s’était beaucoup rapprochée de Mikele, et que… Elle n’eut pas besoin d’aller plus loin, l’Italienne avait compris.
- Je savais que je n’aurais pas du partir, gémit-elle avant d’éclater en sanglots.
La française rousse la prit dans ses bras pour la réconforter, ce qui marchait bien mieux qu’avec sa fille aînée.
- Qu’est-ce que tu me conseilles de faire ? demanda-t-elle en séchant ses larmes.
- C’est une très mauvaise idée de me demander à moi.
- Pourquoi ?
Elle hésita, puis répondit :
- J’ai un peu un esprit de vengeance. Si quelqu’un me fait un coup pareil, je vais plus chercher à me venger qu’à…
- C’est parfait. Qu’est-ce que tu proposes ?
La servante s’horrifia et tenta de convaincre l’Italienne que ce n’était pas la meilleure solution, que cela n’avait jamais aidé personne de se venger, mais elle ne l’écoutait plus, son esprit calculant un plan. Hélène lui attrapa le bras, et la força à la regarder dans les yeux.
- Mariana. Ce que je te conseille de faire, c’est d’en parler avec Mikele.
- Qu’est-ce que tu ferais, toi ? Tu laisserais passer ? Si Marie avait choisi Merwan, plutôt que Mikele ?
Hélène se mordit la lèvre. Evidemment, qu’elle aurait réagi. Mais là, c’était différent. Merwan et elle étaient mariés. Mariana n’avait obtenu aucune promesse de fidélité de la part de Mikele. Enfin… Rien d’officiel.
L’Italienne interpréta son silence qui en disait long, et redemanda une proposition de la part de la servante, qui refusa de nouveau. Elle appréciait beaucoup Mariana, mais elle n’était pas prête à s’embarquer dans une guerre de cette ampleur. Elles ne purent continuer leur conversation bien longtemps, puisque Antoine entra en pleurant et se réfugia dans les bras de sa mère, le genou sanglant. Hélène leva les yeux au ciel, et se dirigea vers la petite pharmacie qui se trouvait dans la salle de bain, abandonnant ainsi l’Italienne à sa souffrance.

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Elise

Elise

Oh! Bah! La vilaine Marie!
C'est paaass biieeenn!
Qu'est ce qu'elle mijote Marianna?
Pauvre petit Antoine, il est tombé!

Nelly Salieri ♪

Nelly Salieri ♪
♫ L'Ecrivaine ♫

Elise a écrit:Oh! Bah! La vilaine Marie!
C'est paaass biieeenn!
Qu'est ce qu'elle mijote Marianna?
Pauvre petit Antoine, il est tombé!

Oui, comme tu dis, Vilaine petite Marie ! (Cool
Je ne sais pas encore ce que mijote Mariana... Il faudra que j'y réfléchisse ! Very Happy
Mon pauvre Antoinou... Il s'est fait mal ! Sad
xD !!

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Elise

Elise

Ils sont mignons nos gosses! Pour l'instant...
On en reparlera quand ils feront leurs crises d'adolescence...
Presque tous en même temps, le bazar dans l'auberge...
Au secours, Mon Dieu...

flavie mothe

flavie mothe
Claire Méline

slt et c'est quoi ce bordelle !!! lol
et l'autre qui me pique mon mikélé !
je sui toute seule maintenant !!! XD mdr

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