Il faisait déjà nuit depuis longtemps tandis que Wolfgang continuait de herrer sans but dans les ruelles de Florence . Il n'avait toujours pas réalisé qu'i; venait de vendre son âme au diable . A cet instant précis il se dit qu'il n'avait rien fait de plus stupide .
"ta tatam tatamtamtamtamtam ..."
Il chantonnait sans grande conviction une de ses petites musiques dans le seul but de se donner du courage . En vain ! Il se repassait sans arrêt comment il avait raconté ses soucis a cette dame et comment elle lui avait proposé de pactiser avec le diable . Il pensa avec un petit pincement au coeur a son pauvre père, ermite, qu'est-ce que lui aurait dit ? L'aurait-il renier ? L'aurait-il maudit a tout jamais ?
Il eut un petit rire mécanique .
"Le maudir? oh pas besoin il l'était déjà !"
Il battait la mesure a l'aide de son soulier tandis que de grosses larmes se mettaient a couler sur ses joues .
La vision de sa soeur ainé venait de s'imposer a lui comme une condamnation . Egoiste, il s'était rendu maudit pour l'amour d'une femme, il avait accpté de maudire sa famille pour une femme, il renié son staut d'être humain pour....cette femme !
Il tapait de son poing contre le mur :
"LUCIFER!!! reviiiiens ! ET TOI !!! femme ! misérable ! Je te hais ! Constance weber ou qui que tu sois ! sois maudite ! Je veux reprendre mon âme ! Je veux me retrouver ! Je veux vivre ! VIIIIIIVRE !!!!!!!!!!!!AAAAAAAHHHHHHH !!!!"
Il abbatit avec violence son poing sur le mur de pierre . Il voulait souffrir ! Oui soufrir pour oublier cette torture intérieure . Le doux visage de Nannerl lui aparaissait comme si il voulait lui montrer ce qu'il en avait fait . Oui ! C'état sa faute ! Sa seule faute ! C'est lui qui l'avait fait souffrir , l'obligeant a trimer du lever jusqu'au coucher du soleil, l'obligeant a supporter les sarcasmes d'un homme . Un homme qui l'umiliait, lui Wolfgang Amadeus Mozart! Sans qu'il soit capable de récuperer son honneur et de laver les affronts fait a sa soeur . Sa suele vraie famille qu'il lui reste . Non ! Le seule famille qu'il restait, avant ! Avant qu'il n'accepte de n'être plus q'un demi-homme ! Maudit a tout jamais ! Damné ! Rien ! Il n'était plus rien ! Son âme lui avait été volé ! Il n'était plus qu'n orphelin aux prises avec le diable . "
Il frappa de nouveau un mur avec hargne . .
Il fut soudainement saisi de spasmes violents .Ne cherchant même pas à refouler ses sanglot il se laissa tomber au pied d'un muret et ferma les yeux .
Au même moment, dans un sombre cabanon, une jeune femme tressée ricainait de son air diabolique tout en carressant un singe ....
Le jour se levait sur Florence et Wolfgang ouvrit pénibement les yeux . De gros sillons était encore tracés sur ses joues, témoignant des larmes qu'il avait versé . Il n'avait jamais aussi mal dormi de sa vie, des cauchemars tous plus affreux les uns que les autres le poursuivaient dès que ses paupières se refermaient .
Il se mit a marcher, au hasard, dans les ruelles de la ville . Son corps se balançait au gré des bourrasques, on aurait dit qu'un simple souffle aurait réussi a le balayer tel un brin de paille .
Il s'accouda contre un arbre du parc et fixa le vide de ses grands yeux noirs fatigués .
Soudain il la vit . Elle était là, plus belle que jamais dans sa robe vert pomme ornée de dentelles . Aloysia Weeber . La belleet cruelle Aloysia Weber .
Wolfgang sembla se réveiller soudainement et tandis que son visage prenait sa charmante teinte cramoisi il suivait le léger balancement des hanches de la jeun fille .
Au moment où son regard croisa celui de la belle brune, celle-ci ne détourna pas son regard d'un air prétentieux comme à son habitude . Elle plongea ses iris noisette dans les yeux embués de notre musicien . A cetet instant précis, Wlofgang ne regrettait plus du tout son pacte, il était tellement heureux de voir la douceur dans les yeux de sa bien-aimée . Jamais il ne s'était senti aussi bien, et il eu l'impression qu'on l'avait emmené au paradis .
Mais aloysia détourna son regard et pinça les lèvers dans son habituel rictus méprisant . Mozart, lui tel un bébé béat ne put s'empecher de penser :
" cette Constance avait raison , sa soeur a bel et bien un coeur de pierre!"
Pourtant ce court instant avait réussi à faire de lui le plus heureux des hommes .
Il rentra dans son appartement et se mit a jouer de son violon avec un entrain inhabituel .
Les jours suivant, Wolfgang ne partit plus travailler " Au fou qui dérange". Son euphorie était telle qu'il en oublia même sa pauvre soeur . Elle, continuait de travailler sans rien dire, son éternel sourire bienveillant aux lèvres .
Nannerl, cette ange que la vie n'a pas réussi à désesperer . Que la vie jamais ne brule les ailes .
Son frère lui, passait ses journées a cheminait d'un air rêveur dans le parc dans l'espoir de voir sa belle, de suspendre un sourire qui pourrait lui laisser espérer quelque chose d'elle .
Un jour qu'il trainait du coté du palais royal, il surprit une conversation entre un homme a la perruque poudrée et une femme en magnifique robe rouge .
" Je vous assure très chère, vous allez être parfaite dans ce concert . Votre magnifique voix, imaginez un peu , votre magnifique voix accompagnée d'un orchestre des plus formidables !
- Oh ! Romsenberg voyons vous aller me faire rougir " protesta celel-ci même si elle paraissait fort satisfaite de ces compliments.
"Je vous assure ! Moi Le comte Rosenberg ej vous promets un triomphe . Mes concerts sont dignes de quealitée et ous êtes de qualitée très chère ! Il me manque toujours une parti de l'opéra que je refuse de voir assurer Salieri mais totu ceci n'est que détail comparée a votre grandissime grandeur ! Oh madame accptez mon offre je vous promets que vou ne le regretterez pas !
- C'est si gentiment proposé " tenta-t-elle . Mais le Comte avait déjà du prendre ça pour un oui car il ne l'écoutait plus . Il éxécutait de grands moulinets à l'aide de sa canne tout en hurlant des notes au hasard qui était inscrite sur des partitions froissées . La cantatrice, quoique un peu genée par l'étrange comportement de son futur employeur, semblait s'amuser de la marche en canard du comte !
Wolfgang lui nécoutait plus, il était rentré en courant aussi vite que ses souliers vernis le permettait . Se saississant d'un parchemin, d'une plume et d'un peu d'encre se mit à écrire . Ses mains tremblaient de précipitations et on aurait dit qu'il avait attrapé une fièvre tropicale .
" Oui ! pensa-t-il tout en traçant un "b" majuscule très peu soigné, Il ne peut que m'accepter c'est sur, ce pacte ne m'a-t-il pas promis chance et réussite dans tout mes projets ?"
C'était ça son projet, Rosenberg avait parlé d'une partie dont il lui manquait un musicien . Il allait se proposait .
Il acheva rapidement sa lettre et d'un ton défieur s'empara du sceau des mozart et le coula sur sa lettre .
Wolfgang , se précipitant au dehors, pensait déjà a sa réussite prochaine .
" Oh ! Oh petit"
Un jeune garçon vétu d'une chemise trop courte pour lui et d'un chapeau a plumes, s'approcha de lui :
" Si monsieur ? Rustichello pour vous servir !
- Tu m'a l'air dégourdi va ! Va donc porter cette lettre au comte Romsenberg ! Et prends donc cette pièce !"
Le garçon regardait tout à tour Mozart et la lettre puis il demanda :
"Le vieu fou ?
- Oui , le comte Rosenberg ! "
Et il partit sans demander son reste . Wolfgang, sûr de la réussite de son projet, alla se coucher l'esprit tranquille, sans se soucier de sa soeur qui travaillait a quelques mètres de là et n dormirais pas avant longtemps .
Le lendemain, Mozart partit en direction de l'opéra . Son pas était leger et il chantonnait d'un air joyeux . Il décida de passer par la porte de derrière, comme les artistes .
Mais tandis qu'il montait sur l'estrade, il se figea . Un homme parlait à Rosenberg :
" Monsieur le comte, celel lettre que vous avez reçut n'était-elle pas cahetée du sceau des Mozart ?
- Tu plaisante ! Cette famille de pouilleux a définitivement disparu de la surface de la terre !
- Et bien il faut croire que non ! avait dit Wolfgang d'une voix forte tout en s'avançant *
- Et vous êtes..euh ...Monsieur ?( le comte dévisagea Mozart des pieds a la tête) Oui monsieur !
- Wolfgang Amadeus mozart ! Pour sevrir Mosieur le comte !"
Il avait déclaré ça d'un ton volontairemement pompeux et attendit l'effet qu'avait fait sa phrase .
Rosenberg lui éclata de rire avant de prendre bruyamment sa respiration et de demander d'un ton très sérieux :
" C'est vous qui m'avait écrit ?"
Wolfgang aquiesca d'un signe de tête, ne sachant comment se tenir face à létrange comportement d'une comte .
" Et bien dans ce cas, mon p'tit Mozart va nous montrer ce qu'il sait faire "
Ce n'est que lorsque le comte l'amena devant un orchestre au grand complet que Wolfgang se rendit compte qu'il avait oublié ses partitions ! Il déglutit péniblement se demandant comment avouer cette bévue au Conte . Il n'en eu pas besoin, le même homme vêtu de noir que Wolfgang avait vu ce fameux soir où il avait été humilié " Au fou qui dérange" . Salieri en conclut-il .
" Ah c'est donc lui le petit Mozart ! Où qui qu'il se dise d'autre d'ailleurs !
Et bien qu'attendez-vous por distribuez vous partitions aux Musiciens ? Mais peut-être êtes-vous trop doué pour avoir besoin de ce genre de feuilles que le commun des mortels utilise !"
"ta tatam tatamtamtamtamtam ..."
Il chantonnait sans grande conviction une de ses petites musiques dans le seul but de se donner du courage . En vain ! Il se repassait sans arrêt comment il avait raconté ses soucis a cette dame et comment elle lui avait proposé de pactiser avec le diable . Il pensa avec un petit pincement au coeur a son pauvre père, ermite, qu'est-ce que lui aurait dit ? L'aurait-il renier ? L'aurait-il maudit a tout jamais ?
Il eut un petit rire mécanique .
"Le maudir? oh pas besoin il l'était déjà !"
Il battait la mesure a l'aide de son soulier tandis que de grosses larmes se mettaient a couler sur ses joues .
La vision de sa soeur ainé venait de s'imposer a lui comme une condamnation . Egoiste, il s'était rendu maudit pour l'amour d'une femme, il avait accpté de maudire sa famille pour une femme, il renié son staut d'être humain pour....cette femme !
Il tapait de son poing contre le mur :
"LUCIFER!!! reviiiiens ! ET TOI !!! femme ! misérable ! Je te hais ! Constance weber ou qui que tu sois ! sois maudite ! Je veux reprendre mon âme ! Je veux me retrouver ! Je veux vivre ! VIIIIIIVRE !!!!!!!!!!!!AAAAAAAHHHHHHH !!!!"
Il abbatit avec violence son poing sur le mur de pierre . Il voulait souffrir ! Oui soufrir pour oublier cette torture intérieure . Le doux visage de Nannerl lui aparaissait comme si il voulait lui montrer ce qu'il en avait fait . Oui ! C'état sa faute ! Sa seule faute ! C'est lui qui l'avait fait souffrir , l'obligeant a trimer du lever jusqu'au coucher du soleil, l'obligeant a supporter les sarcasmes d'un homme . Un homme qui l'umiliait, lui Wolfgang Amadeus Mozart! Sans qu'il soit capable de récuperer son honneur et de laver les affronts fait a sa soeur . Sa suele vraie famille qu'il lui reste . Non ! Le seule famille qu'il restait, avant ! Avant qu'il n'accepte de n'être plus q'un demi-homme ! Maudit a tout jamais ! Damné ! Rien ! Il n'était plus rien ! Son âme lui avait été volé ! Il n'était plus qu'n orphelin aux prises avec le diable . "
Il frappa de nouveau un mur avec hargne . .
Il fut soudainement saisi de spasmes violents .Ne cherchant même pas à refouler ses sanglot il se laissa tomber au pied d'un muret et ferma les yeux .
Au même moment, dans un sombre cabanon, une jeune femme tressée ricainait de son air diabolique tout en carressant un singe ....
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Le jour se levait sur Florence et Wolfgang ouvrit pénibement les yeux . De gros sillons était encore tracés sur ses joues, témoignant des larmes qu'il avait versé . Il n'avait jamais aussi mal dormi de sa vie, des cauchemars tous plus affreux les uns que les autres le poursuivaient dès que ses paupières se refermaient .
Il se mit a marcher, au hasard, dans les ruelles de la ville . Son corps se balançait au gré des bourrasques, on aurait dit qu'un simple souffle aurait réussi a le balayer tel un brin de paille .
Il s'accouda contre un arbre du parc et fixa le vide de ses grands yeux noirs fatigués .
Soudain il la vit . Elle était là, plus belle que jamais dans sa robe vert pomme ornée de dentelles . Aloysia Weeber . La belleet cruelle Aloysia Weber .
Wolfgang sembla se réveiller soudainement et tandis que son visage prenait sa charmante teinte cramoisi il suivait le léger balancement des hanches de la jeun fille .
Au moment où son regard croisa celui de la belle brune, celle-ci ne détourna pas son regard d'un air prétentieux comme à son habitude . Elle plongea ses iris noisette dans les yeux embués de notre musicien . A cetet instant précis, Wlofgang ne regrettait plus du tout son pacte, il était tellement heureux de voir la douceur dans les yeux de sa bien-aimée . Jamais il ne s'était senti aussi bien, et il eu l'impression qu'on l'avait emmené au paradis .
Mais aloysia détourna son regard et pinça les lèvers dans son habituel rictus méprisant . Mozart, lui tel un bébé béat ne put s'empecher de penser :
" cette Constance avait raison , sa soeur a bel et bien un coeur de pierre!"
Pourtant ce court instant avait réussi à faire de lui le plus heureux des hommes .
Il rentra dans son appartement et se mit a jouer de son violon avec un entrain inhabituel .
Les jours suivant, Wolfgang ne partit plus travailler " Au fou qui dérange". Son euphorie était telle qu'il en oublia même sa pauvre soeur . Elle, continuait de travailler sans rien dire, son éternel sourire bienveillant aux lèvres .
Nannerl, cette ange que la vie n'a pas réussi à désesperer . Que la vie jamais ne brule les ailes .
Son frère lui, passait ses journées a cheminait d'un air rêveur dans le parc dans l'espoir de voir sa belle, de suspendre un sourire qui pourrait lui laisser espérer quelque chose d'elle .
Un jour qu'il trainait du coté du palais royal, il surprit une conversation entre un homme a la perruque poudrée et une femme en magnifique robe rouge .
" Je vous assure très chère, vous allez être parfaite dans ce concert . Votre magnifique voix, imaginez un peu , votre magnifique voix accompagnée d'un orchestre des plus formidables !
- Oh ! Romsenberg voyons vous aller me faire rougir " protesta celel-ci même si elle paraissait fort satisfaite de ces compliments.
"Je vous assure ! Moi Le comte Rosenberg ej vous promets un triomphe . Mes concerts sont dignes de quealitée et ous êtes de qualitée très chère ! Il me manque toujours une parti de l'opéra que je refuse de voir assurer Salieri mais totu ceci n'est que détail comparée a votre grandissime grandeur ! Oh madame accptez mon offre je vous promets que vou ne le regretterez pas !
- C'est si gentiment proposé " tenta-t-elle . Mais le Comte avait déjà du prendre ça pour un oui car il ne l'écoutait plus . Il éxécutait de grands moulinets à l'aide de sa canne tout en hurlant des notes au hasard qui était inscrite sur des partitions froissées . La cantatrice, quoique un peu genée par l'étrange comportement de son futur employeur, semblait s'amuser de la marche en canard du comte !
Wolfgang lui nécoutait plus, il était rentré en courant aussi vite que ses souliers vernis le permettait . Se saississant d'un parchemin, d'une plume et d'un peu d'encre se mit à écrire . Ses mains tremblaient de précipitations et on aurait dit qu'il avait attrapé une fièvre tropicale .
" Oui ! pensa-t-il tout en traçant un "b" majuscule très peu soigné, Il ne peut que m'accepter c'est sur, ce pacte ne m'a-t-il pas promis chance et réussite dans tout mes projets ?"
C'était ça son projet, Rosenberg avait parlé d'une partie dont il lui manquait un musicien . Il allait se proposait .
Il acheva rapidement sa lettre et d'un ton défieur s'empara du sceau des mozart et le coula sur sa lettre .
Wolfgang , se précipitant au dehors, pensait déjà a sa réussite prochaine .
" Oh ! Oh petit"
Un jeune garçon vétu d'une chemise trop courte pour lui et d'un chapeau a plumes, s'approcha de lui :
" Si monsieur ? Rustichello pour vous servir !
- Tu m'a l'air dégourdi va ! Va donc porter cette lettre au comte Romsenberg ! Et prends donc cette pièce !"
Le garçon regardait tout à tour Mozart et la lettre puis il demanda :
"Le vieu fou ?
- Oui , le comte Rosenberg ! "
Et il partit sans demander son reste . Wolfgang, sûr de la réussite de son projet, alla se coucher l'esprit tranquille, sans se soucier de sa soeur qui travaillait a quelques mètres de là et n dormirais pas avant longtemps .
Le lendemain, Mozart partit en direction de l'opéra . Son pas était leger et il chantonnait d'un air joyeux . Il décida de passer par la porte de derrière, comme les artistes .
Mais tandis qu'il montait sur l'estrade, il se figea . Un homme parlait à Rosenberg :
" Monsieur le comte, celel lettre que vous avez reçut n'était-elle pas cahetée du sceau des Mozart ?
- Tu plaisante ! Cette famille de pouilleux a définitivement disparu de la surface de la terre !
- Et bien il faut croire que non ! avait dit Wolfgang d'une voix forte tout en s'avançant *
- Et vous êtes..euh ...Monsieur ?( le comte dévisagea Mozart des pieds a la tête) Oui monsieur !
- Wolfgang Amadeus mozart ! Pour sevrir Mosieur le comte !"
Il avait déclaré ça d'un ton volontairemement pompeux et attendit l'effet qu'avait fait sa phrase .
Rosenberg lui éclata de rire avant de prendre bruyamment sa respiration et de demander d'un ton très sérieux :
" C'est vous qui m'avait écrit ?"
Wolfgang aquiesca d'un signe de tête, ne sachant comment se tenir face à létrange comportement d'une comte .
" Et bien dans ce cas, mon p'tit Mozart va nous montrer ce qu'il sait faire "
Ce n'est que lorsque le comte l'amena devant un orchestre au grand complet que Wolfgang se rendit compte qu'il avait oublié ses partitions ! Il déglutit péniblement se demandant comment avouer cette bévue au Conte . Il n'en eu pas besoin, le même homme vêtu de noir que Wolfgang avait vu ce fameux soir où il avait été humilié " Au fou qui dérange" . Salieri en conclut-il .
" Ah c'est donc lui le petit Mozart ! Où qui qu'il se dise d'autre d'ailleurs !
Et bien qu'attendez-vous por distribuez vous partitions aux Musiciens ? Mais peut-être êtes-vous trop doué pour avoir besoin de ce genre de feuilles que le commun des mortels utilise !"
Dernière édition par catytalie le Ven 6 Mai - 2:28, édité 1 fois