« Je ressens de violentes pulsions, j’ai l’impression de glisser vers fond. Si j’ignore d’où vient ce fléau, j’adore l’avoir dans la peau… »
C’était d’une grâce inimaginable. Autour de Florent, vêtu d’un costume entièrement noir, un manuscrit à la main, s’activait un nombre incalculable de danseurs habillés aux couleurs du chanteur. Ils se mouvaient dans une danse à la fois sensuelle tout en ayant quelque chose d’animale. L’expression torturée qu’affichait Florent chamboula Nelly et lui fendit le cœur.
« C’est le bien qui fait mal. Quand tu aimes tout à fait normal. Ta haine prends le plaisir, c’est si bon de souffrir, succombes au charme, donne tes larmes. »
Tous les danseurs se rassemblèrent autour de Florent. A chacun de leur mouvement, Nelly était de plus en plus transportée. Tout dans le jeu du jeune chanteur laissait paraître une faille, un malaise du personnage qu’il incarnait mais pourtant la communion qu’offrait la scène, avec une synchronisation parfaite des danseurs, laissait entrevoir un univers où il se sentait parfaitement bien.
« Je baisse les armes, je donnes mes larmes. »
La chanson et la danse s’achevèrent ainsi, sur ces mots.
Toujours perdues dans ses émotions, Nelly n’avait pas remarqué que désormais, tous les regards étaient tournés vers elle.
- Ah ! Mlle.Maginot ! fit Dove en s’approchant d’elle à grand pas. Désolée pour l’accueil, je ne m’attendais pas à ce que vous veniez si tôt. Venez, allons dans mon bureau pour discuter. Et vous, continuez, dit-il en s’adressant aux danseurs et aux chanteurs. Partez sur La Chanson de l’Aubergiste, vous n’êtes pas assez synchro avec vos plateaux les filles.
C’était d’une grâce inimaginable. Autour de Florent, vêtu d’un costume entièrement noir, un manuscrit à la main, s’activait un nombre incalculable de danseurs habillés aux couleurs du chanteur. Ils se mouvaient dans une danse à la fois sensuelle tout en ayant quelque chose d’animale. L’expression torturée qu’affichait Florent chamboula Nelly et lui fendit le cœur.
« C’est le bien qui fait mal. Quand tu aimes tout à fait normal. Ta haine prends le plaisir, c’est si bon de souffrir, succombes au charme, donne tes larmes. »
Tous les danseurs se rassemblèrent autour de Florent. A chacun de leur mouvement, Nelly était de plus en plus transportée. Tout dans le jeu du jeune chanteur laissait paraître une faille, un malaise du personnage qu’il incarnait mais pourtant la communion qu’offrait la scène, avec une synchronisation parfaite des danseurs, laissait entrevoir un univers où il se sentait parfaitement bien.
« Je baisse les armes, je donnes mes larmes. »
La chanson et la danse s’achevèrent ainsi, sur ces mots.
Toujours perdues dans ses émotions, Nelly n’avait pas remarqué que désormais, tous les regards étaient tournés vers elle.
- Ah ! Mlle.Maginot ! fit Dove en s’approchant d’elle à grand pas. Désolée pour l’accueil, je ne m’attendais pas à ce que vous veniez si tôt. Venez, allons dans mon bureau pour discuter. Et vous, continuez, dit-il en s’adressant aux danseurs et aux chanteurs. Partez sur La Chanson de l’Aubergiste, vous n’êtes pas assez synchro avec vos plateaux les filles.
Dernière édition par KristelWildenstern le Mer 24 Aoû - 12:49, édité 3 fois